Saint Charbel - L'empreinte et les messages à Raymond Nader
L’Eglise maronite
L’Eglise d’Orient, berceau du christianisme, a une histoire millénaire qui remonte aux débuts de la foi. Fondée par Jésus-Christ il y a deux mille ans, l’Eglise primitive s’est rapidement répandue de Jérusalem aux côtes du Liban grâce à la prédication des premiers apôtres, établissant les premières communautés chrétiennes à Byblos, Jbeil, Tyr et Sidon. Pendant que les côtes libanaises accueillaient la nouvelle foi, les régions intérieures du Liban, en particulier les zones montagneuses, demeuraient fidèles aux cultes païens phéniciens, comme ceux d’Adonis et d’Astarté.
Au premier siècle après Jésus-Christ, les disciples de saint Maron, un ermite du nord de la Syrie, commencèrent à prêcher et à diffuser le christianisme dans le nord du Liban, convertissant les populations des régions montagneuses et donnant naissance à la communauté maronite.
Les moines de saint Maron ne se contentèrent pas de détruire les temples païens pour les transformer en églises, mais ils marquèrent également la fin des anciennes pratiques et le début d’une nouvelle ère de foi.
Cette communauté chrétienne est restée fidèle à l’Eglise catholique romaine depuis le début, reconnaissant le pape comme son chef. Pour cette raison, l’Eglise maronite est catholique et dirigée par un cardinal de l’Eglise catholique romaine, appelé patriarche, dont le siège est à Bkerké.
Bien qu’elle partage les dogmes et les enseignements de l’Eglise catholique d’Occident et maintienne la communion avec le Pape, l’Eglise maronite conserve une liturgie et une tradition propres, qui longent leurs racines dans l’Eglise primitive.
La spiritualité maronite est mariale par excellence t repose sur une solide tradition monastique, caractérisée par une vigilance constante pour ne pas céder aux tentations. Elle transforme la vie quotidienne en un chemin vers le Divin, invitant à vivre l’existence non pas comme une série d’événements, mais comme un voyage vers le ciel.
Dans ce contexte de foi et de tradition, saint Charbel Makhlouf, moine et ermite de l’Ordre libanais maronite, incarnait pleinement l’esprit des origines. Pendant seize ans au monastère d’Annaya, dans les montagnes libanaises, puis pendant vingt-trois ans dans l’ermitage des saints Pierre et Paul, non loin du couvent, saint Charbel consacra sa vie au silence, à la prière et au travail dans les champs.
Dans l’humilité et la parfaite obéissance à la règle monastique et au Pape, il atteignit un tel degré de perfection chrétienne qu’il devint un phare de lumière pour le monde, démontrant par sa conduite exemplaire comment l’Eglise maronite sait harmonieusement fusionner la dimension terrestre avec la dimension céleste, et offrir un modèle de sainteté qui unit contemplation et action.
Saint Charbel Makhlouf
Biographie essentielle
Saint Charbel Makhlouf, baptisé Youssef (Joseph), était le plus jeune des cinq enfants d’Antoun Zaarour Makhlouf et de Brigitta Al-Chidiaq. Il est né à Beka Kafra, un village situé sur le Mont-Liban à 1800 mètres d’altitude, au-dessus de la Vallée sainte. Sa date de naissance est traditionnellement fixée au 8 mai 1828, car à cette époque, les familles orientales ne se préoccupaient pas toujours d’enregistrer la date de naissance de leurs enfants, et le registre paroissial du village a été établi plus tard.
Bien que sa famille fût pauvre en biens matériels, elle était riche en foi, une richesse bien plus précieuse. Youssef passa son enfance et sa jeunesse à œuvrer comme paysan et berger dans son village montagnard, où la simplicité de la vie rurale forma
son caractère. Malheureusement, les mystères de cette période restent largement inexplorés. Les rares témoignages qui nous sont parvenus dépeignent un jeune garçon dévot, animé d’une droiture naturelle, d’une simplicité touchante et d’une sincérité désarmante.
Youssef n’avait que trois ans lorsque son père fut réquisitionné par l’armée ottomane, avec son âne, pour transporter le blé de l’émir le long de la côte jusqu’à Jbeil. L’épuisement ruina sa santé, et la mort le surprit sur le chemin du retour, le 8 août 1831, laissant derrière lui une veuve et cinq enfants à nourrir. La tutelle des orphelins fut confiée à son frère, le diacre Tannous, tandis que l’héritage laissé par le défunt se composait de quelques parcelles de terrain, d’une maison et d’une vache, cette dernière étant attribuée à Youssef.
Deux ans après la mort de son époux, Brigitta se remaria avec Lahoud Ibrahim, un homme du village, qui devint par la suite prêtre et curé. Dans la tradition maronite, comme dans tous les rites orientaux, les hommes mariés peuvent recevoir les ordres sacrés et exercer le ministère, surtout dans les petits villages, où la foi et la communauté s’entrelacent dans une délicate harmonie.
Youssef était naturellement enclin à la contemplation et à la solitude. Pendant qu’il faisait paître sa vache, il s’éclipsait souvent pour prier dans une grotte qu’il avait transformée en chapelle dédiée à la Vierge Marie, connue sous le nom de «la grotte du saint». Il s’abstenait de participer aux jeux de ses camarades, préférant se consacrer à la prière et à la méditation.
Il avait deux oncles maternels, Daniel et Augustin, qui vivaient en ermite au monastère de Qozhaya, et leur influence fut décisive dans l’éveil de sa vocation religieuse. Lorsque Youssef atteignit l’âge de la majorité, fixé à vingt-trois ans, il décida de fuir son foyer pour embrasser la vie monastique. Un matin, à l’aube, il quitta la maison sans prévenir personne, redoutant l’opposition de sa mère et de son oncle, et se mit en route vers le monastère de Maifouq, situé à une journée de marche.
Youssef embrassa l’Ordre libanais maronite, inspiré, par le monachisme de saint Antoine le Grand, renonçant ainsi au monde pour prendre le nom de Charbel, en hommage à un martyr chrétien du IIe siècle. Cependant, la nouvelle de sa fuite et de sa cachette parvint rapidement à sa famille. Sa mère, Brigitta, ainsi que ses proches tentèrent désespérément de le ramener à la maison.
Brigitta se rendit auprès de son fils, le suppliant de revenir sur sa décision. Mais le novice, les yeux baissés, demeura sourd aux supplications de sa mère. Sa résolution était irrévocable.
L’année suivante, Frère Charbel quitta le monastère de Maifouq, qui ne répondait pas à son idéal de solitude et de silence, et rejoignit le couvent Saint- Maron à Annaya, où il acheva son noviciat.
Le Postulateur de sa cause de canonisation, Monseigneur Joseph Mahfouz, écrit: «Il convient de rappeler ici que la première pierre de ce monastère, où le futur Père Charbel vivra et sera inhumé, a été posée l’année même de la naissance de notre saint, c’est-à-dire en 1828 (…). Devenu profès, Frère Charbel fut envoyé au monastère Saint-Cyprien à Kfifan, qui était à cette époque le scolasticat de l’Ordre libanais maronite. Pendant ses études, il fut toujours parmi les premiers.» Saint Nimatullah Al-Hardini fut son maître. A l’âge de trente et un ans, «après avoir terminé ses études philosophiques et théologiques, il fut ordonné prêtre le 23 juillet 1859 à Bkerké, le siège patriarcal maronite. Par la suite, il reçut l’ordre de ses supérieurs de retourner au monastère Saint- Maron d’Annaya. Là, avant de se retirer définitivement à l’ermitage, il passa seize ans de vie communautaire
(…) et n’a jamais cessé d’acquérir toutes les vertus chrétiennes, humaines et monastiques. Tous les témoignages recueillis montrent saint Charbel obéissant, avec une obéissance presque légendaire. Sa chasteté était véritablement angélique; elle resplendissait partout où il se trouvait. Dans sa pauvreté, il imita les plus grands saints de l’Eglise, car il était bien conscient qu’en se privant de tout dans ce monde, il devenait extrêmement riche en Dieu (…). Sa vie était partagée entre la prière et le travail: ora et labora.»
Il nourrissait un profond amour pour la Vierge Marie et restait à genoux pendant des heures en adoration devant le Saint-Sacrement. Même pendant son travail, il restait constamment plongé dans la contemplation de Dieu, gardant toujours une sérénité
joyeuse, malgré les souffrances causées par le cilice et les maladies chroniques dont il souffrait. «Ses prières incessantes, ses jeûnes prolongés, ses mortifications et son union à Dieu faisaient de lui un ange sous une forme humaine (…). Selon la tradition monastique orientale, le monachisme atteint sa plénitude uniquement dans la vie solitaire: être seul avec le Seul. Même la vie communautaire était considérée comme une période de transition ou de formation en vue d’une véritable vie érémitique. Notre saint se sentait appelé à la vie solitaire. Il demanda à plusieurs reprises l’autorisation de devenir ermite», mais la réponse tarda,
car le supérieur attendait un signe de Dieu pour lui accorder la permission.
Un soir, le Père Charbel rentra tard des champs, ignorant que le supérieur avait interdit aux moines d’allumer les lanternes pour économiser l’huile. Il demanda à un serviteur du couvent de remplir sa lampe pour lire ses prières avant de se coucher. Connaissant l’interdiction, le garçon plaisanta en remplissant la lampe d’eau, qui s’alluma néanmoins.
En voyant la lumière filtrer de la cellule du saint, le supérieur entra et le réprimanda sévèrement pour avoir désobéi à l’ordre d’économiser l’huile. Peu après, l’auteur de la plaisanterie avoua sa farce au supérieur, qui, stupéfait, vérifia la lampe. En découvrant qu’elle ne contenait que de l’eau, il demanda pardon au moine, reconnaissant dans cet événement le signe qu’il avait demandé à Dieu.
Ainsi, en 1875, le Père Charbel, alors âgé de quarante-sept ans, «à la suite du prodige de la lampe qui s’alluma dans sa cellule, bien qu’elle ne contînt que de l’eau et non de l’huile, fut autorisé à se rendre à l’ermitage du monastère d’Annaya dont il dépendait. Selon les Règles et les Constitutions de l’Ordre libanais maronite, un ermite reste sous l’obéissance du supérieur du monastère dont dépend l’ermitage. Sa vie est l’une des plus austères. Au couvent et à l’ermitage, il menait la vie d’un prêtre ouvrier, choisissant toujours les travaux les plus pénibles et humbles.»
Sa conduite vertueuse de prière, d’ascèse et de mortification lui valut «une réputation de sainteté de son vivant et après sa mort». Le Père Charbel ne s’accorda jamais de concessions ni de faiblesses, et dans son don total, il se priva même de nombreuses
choses licites, suivant une logique qui n’appartient pas au monde. Sa vie était un cycle de prière incessante, interrompu seulement par le travail manuel et trois heures de repos. Malgré l’apparente répétitivité de ses journées, saint Charbel trouva la véritable joie dans son union constante avec Dieu et dans l’exercice héroïque des vertus chrétiennes.
Les témoins racontent: «C’était un moine tellement exemplaire dans l’observance de la règle et l’accomplissement de ses devoirs que, lorsque l’on demandait à quelqu’un d’accomplir une tâche ardue, il répondait: “M’as-tu pris pour le Père Charbel? Je ne
peux pas vivre ni travailler comme lui!” Et nous, gens ordinaires, le voyant toujours à genoux, silencieux et absorbé dans la prière, en profond recueillement pendant la messe, accablé par la fatigue d’un travail exténuant, comme le plus humble des serviteurs, vêtu d’un habit usé, indifférent à toutes les choses matérielles, nous disions: “Heureux est-il! Ce moine vit comme les saints et les ermites d’autrefois, dont nous parle le martyrologe.” Son exemple renforçait notre foi et nous poussait à condamner notre attachement aux biens éphémères de ce monde.»
Après vingt-trois ans de vie érémitique exemplaire, «le matin du 16 décembre 1898, à 11 heures, le Père Charbel célébrait la messe dans la chapelle de l’ermitage lorsqu’il fut frappé de paralysie au moment de la grande élévation de l’hostie et du calice, alors qu’il prononçait la prière suivante, selon la liturgie maronite: “Ô Père de la Vérité, voici ton Fils, victime pour te plaire. Accepte-le, car il a subi la mort pour me justifier… Voici son sang répandu sur le Golgotha pour mon salut. Accepte mon offrande…”» Après huit jours d’agonie, le Père Charbel mourut le 24 décembre, veille de Noël, à l’âge de soixante-dix ans. Le jour de Noël, il fut enterré dans le cimetière de la communauté, conformément à la règle monastique.
Le supérieur du monastère d’Annaya, le Père Antoine de Mechmech, qui s’était absenté pour assister aux funérailles du patriarche, écrivit à son retour dans le nécrologe: «Ce qu’il accomplira après sa mort me dispense de fournir davantage de détails sur sa vie. Fidèle à ses voeux et exemplaire dans l’obéissance, sa conduite fut plus angélique qu’humaine.» Des paroles prophétiques, car la biographie glorieuse de saint Charbel commence le jour de son retour auprès du Père.
Dès le jour de sa sépulture, une lumière intense et mystérieuse, visible dans toute la vallée pendant quarante-cinq nuits, jaillit de la tombe du Père Charbel. Ainsi, le tombeau fut ouvert et l’on découvrit que le corps du moine non seulement était intact et flexible, mais transpirait par tous les pores un liquide rougeâtre, décrit par un témoin comme «semblable à l’eau avec laquelle on lave la viande». Le corps frêle de l’ermite suinta une quantité impressionnante de ce liquide continuellement pendant soixante-sept ans, corrodant à plusieurs reprises les cercueils dans lesquels il était déposé. Ce phénomène s’arrêta seulement avec la béatification, le 5 décembre 1965, et son corps perdit également sa flexibilité. Saint Charbel fut canonisé le 9 octobre 1977 à Rome, par saint Paul VI.
Aujourd’hui, son corps, réduit à un squelette recouvert de peau assombrie, repose dans une caisse en bois de cèdre avec un couvercle en verre transparent, protégée par une grille. Bien que tout le monde puisse voir la tombe, seul le supérieur peut autoriser quelqu’un à observer son corps à travers le verre.
Raymond Nader
Raymond Nader est né au Liban le 10 novembre 1961, dans une famille maronite profondément croyante, qui lui inculque dès son enfance une éducation chrétienne. En grandissant, cependant, la foi à elle seule ne lui suffit plus, car l’homme est doté de raison et Raymond désire découvrir le sens de l’univers et les secrets de Dieu également à travers les outils de la science.
Il raconte: «Depuis mon enfance, quand j’avais seulement cinq ou six ans, j’étais fasciné par les étoiles. Lorsque je disparaissais, mes parents venaient me chercher sur le toit de la maison, où je restais des heures à contempler le ciel étoilé et l’immensité de l’univers. Je m’allongeais sur le dos, les bras ouverts, et je me posais déjà de grandes questions de sens. Au Liban, loin de la pollution lumineuse, le ciel s’ouvrait devant moi dans toute sa splendeur. La Voie lactée, les étoiles et les astres étaient si nets que je pouvais les reconnaître facilement. A l’époque, je croyais que les étoiles étaient suspendues dans le ciel. Quand j’ai grandi et étudié la nature des astres, j’ai continué à contempler les étoiles comme autrefois, allongé sur le dos, les bras ouverts, et je le fais encore aujourd’hui. Je me perdais à contempler la vastitude de l’univers, me sentant vivant en son sein et me demandant quel était mon rôle dans tout cela. Malgré ma petitesse, je comprenais que j’avais un rôle et un sens dans cet espace démesuré. Fixant les étoiles une à une, j’éprouvais une sensation merveilleuse. J’avais l’impression de communiquer avec l’univers. Je comprenais que j’en faisais partie, je sentais que j’existais. Ce sens d’immensité, plutôt que de me faire peur, me donnait une profonde conscience de moi-même. Je crois fermement que contempler l’univers est un antidote efficace contre la dépression, car cela permet à l’homme de percevoir sa propre valeur.»
Pour explorer les lois de l’univers et scruter les mystères de la foi chrétienne également à travers la raison, Raymond obtient un diplôme en ingénierie électronique et mécanique à Beyrouth, puis se rend à Londres pour se spécialiser en physique nucléaire et technologies avancées. Il n’aspire pas à devenir ingénieur nucléaire, mais simplement à découvrir les mystères de l’atome et de la matière pour mieux comprendre les lois de l’univers et les vérités de la foi.
La guerre civile libanaise (1975-1990) marque un tournant crucial dans sa vie. Alors que de nombreux Libanais fuient à l’étranger, Raymond, au contraire, rentre au pays pour servir les forces armées chrétiennes en tant qu’officier supérieur. Pendant cette période dramatique, il est confronté aux atrocités de la guerre et subit la douloureuse perte de nombreux amis et camarades.
Quinze années de conflits, de massacres et de tensions provoquent plus de 150 000 morts parmi les militaires et les civils. L’horreur de cette guerre fratricide multiplie ses interrogations: «Pourquoi mourons- nous, si l’être humain est une créature si belle et parfaite? Quel est notre but dans ce monde? Où allons-nous après la mort? Existe-t-il une autre dimension ou le néant engloutit-il tout? Le paradis et l’enfer existent-ils vraiment?»
Le 10 novembre 1994, Raymond vit une expérience mystique extraordinaire, trouve enfin les réponses qu’il cherchait et reçoit un signe indélébile sur le bras: l’empreinte de la main de saint Charbel. Cet événement le transforme radicalement.
Homme mûr et père de trois enfants, en 1996, Raymond devient directeur général d’une entreprise à Beyrouth et membre du Conseil d’administration de Télé Lumière / Noursat, la première et unique chaîne de télévision chrétienne du Liban et du Moyen-Orient.
Aujourd’hui, il continue de témoigner de l’expérience mystique vécue à Annaya il y a trente ans, qui a radicalement changé sa vie et conduit beaucoup à la conversion. En tant que directeur exécutif de Noursat, il voyage sur tous les continents pour évangéliser et diffuser le message chrétien.
Nous l’avons interviewé et rapportons ici son témoignage.
Table des matières
L’Eglise maronite…………………………………………….. 5
Saint Charbel Makhlouf
Biographie essentielle………………………………………. 8
L’un des plus grands thaumaturges de tous les temps……………………………………………. 16
Les deux miracles les plus célèbres de saint Charbel……………………………………………… 20
Raymond Nader………………………………………………. 22
Témoignage de Raymond Nader……………………….. 25
L’avis des médecins………………………………………… 36
La portée spirituelle de l’empreinte sur le bras… 40
La deuxième expérience mystique………………….. 42
«La Famille de saint Charbel»………………………….. 47
Ces temps difficiles…………………………………………. 50
La perspective de l’éternité……………………………… 52
Il y a un autre monde……………………………………….. 57
Saint Charbel nous demande de revoir notre vie. 62
Entretien avec Raymond Nader………………………. 65
Entretien avec le Père Hanna Skandar…………….. 71
Appel de Raymond Nader……………………………….. 77
Les messages de saint Charbel………………………. 84
1. Seul le Christ est la Vérité……………………………… 84
2. L’amour est le seul but de la vie……………………… 86
3. Le mal se détruit de lui-même……………………….. 90
4. La lumière du Christ resplendira……………………… 95
5. Sanctifiez le monde par l’amour……………………… 98
6. Prier et servir………………………………………………. 101
7. Occupez votre place dans la vie…………………….. 105
8. Votre but est la sainteté………………………………… 109
9. Ne dialoguez pas avec le diable……………………… 113
10. La logique de l’amour…………………………………. 116
11. Libérez-vous des poids inutiles…………………….. 121
12. Le salut est dans l’Eglise…………………………….. 124
13. L’amour ne rend pas esclave……………………….. 126
14. Le diable ne montre jamais son vrai visage…….. 127
15. La vie est éternelle, parce que Dieu est la Vie…. 130
16. Le Malin veut détruire la famille…………………….. 132
Extraits des cinq messages suivants………………….. 134

Saint Charbel – L’empreinte et les messages à Raymond Nader
Patrizia Cattaneo
Parvis
144 p. – 11 x 17 cm – 12€