Comment savoir que la foi chrétienne est vraie ?
Des millions de personnes à travers le monde vivent convaincues d’une chose. Une chose qui se serait produite il y a deux-mille ans et qui, quand on y réfléchit, est un peu difficile à croire.
Elles affirment qu’il y a deux-mille ans, un homme du nom de Jésus de Nazareth a été arrêté et condamné à mort.
On l’a traîné hors de la ville de Jérusalem, en Israël, pour le clouer sur une croix. Il est mort et on l’a enseveli.
Mais ce n’est pas ça qui est difficile à croire. Après tout, nous mourrons tous un jour.
Non, c’est la suite qui est absurde.
Ces millions de personnes sont persuadées qu’après sa mort, Jésus est revenu à la vie. Et elles croient que quelques semaines plus tard, il est retourné au ciel, vivant… et qu’il vit encore aujourd’hui.
Mais il y a aussi beaucoup de gens dans le monde qui pensent que cette histoire d’homme revenu d’entre les morts, c’est n’importe quoi.
Parmi eux, certains croient que Jésus n’a jamais existé.
D’autres se disent qu’il a sans doute existé mais qu’il n’était qu’un être humain ordinaire qui donnait de beaux enseignements comme « aimez-vous les uns les autres ». Puis cet être humain ordinaire est mort, fin de l’histoire.
Alors, où est la vérité dans tout ça ? Jésus est-il revenu à la vie, oui ou non ?
Si je me pose cette question, c’est parce que je suis convaincu qu’y répondre est le meilleur moyen de savoir si la foi chrétienne vaut la peine d’être prise au sérieux.
Mais ce que je me demande aussi, c’est comment tu t’es retrouvé avec ce livre entre les mains.
Peut-être que Jésus est très important pour ta famille et que, jusqu’ici, tu as suivi le mouvement. Mais maintenant, tu commences à te demander si la foi chrétienne tient vraiment la route.
Ou peut-être as-tu pris toi-même la décision de suivre Jésus. Mais tes amis et ta famille pensent que Jésus n’est qu’une légende, et tu commences à te demander s’ils n’auraient pas raison. Ou alors, tes proches croient en une religion complètement différente et tu ne sais plus quoi penser.
Peut-être que c’est toi qui penses que Jésus n’est qu’une légende, et quelqu’un t’a offert ce livre pour te démontrer le contraire.
Ou peut-être que tu hésites : tu as l’impression que la Bible dit la vérité sur Jésus, mais tu as besoin de preuves. Peu importe la raison pour laquelle tu as ouvert ce livre, je suis très heureux que tu sois là : figure-toi qu’il existe de solides preuves en faveur de la foi chrétienne. Et tout repose sur la réponse à cette question :
« Jésus est-il vraiment revenu à la vie ? »
Je crois qu’il s’agit de la deuxième question la plus importante que nous pouvons nous poser.
(Ne t’inquiète pas, tu sauras bientôt quelle est la question la plus importante.) Pourquoi la question de la résurrection de Jésus est-elle si importante ? Parce qu’il y a dans notre monde des tas de grands enseignants et de leaders qui proclament : « Voici le chemin qui mène à Dieu » ; « Voilà la vérité » ou « Venez et vous aurez la vie dont vous avez toujours rêvée ». Mais ce que Jésus a dit n’a rien à voir avec ce genre de déclarations ! Jésus n’a pas clamé : « Voici le chemin », « Voici la vérité » ou « Voici la vie ». Il a dit : « Moi, je suis le chemin, c’est-à-dire la vérité et la vie » (Évangile de Jean chapitre 14, verset 6).
Jésus a prétendu être Dieu, le seul vrai roi de l’univers, qui nous a créés et qui nous aime.
D’après Jésus, tous les êtres humains sans exception ont mis le bazar dans leur relation avec Dieu et tous ont besoin que lui, Jésus, vienne à leur secours.
Jésus a expliqué qu’en mourant sur la croix, il réparait notre relation brisée avec Dieu.
Il a dit que si nous plaçons notre confiance en lui au lieu de compter sur nos propres efforts pour faire le bien, il nous offre la vie avec lui. Une vie en abondance, ici et maintenant, puis une vie parfaite et éternelle avec lui lorsqu’il reviendra pour guérir le monde brisé et en faire notre maison, à nouveau parfaite.
Et voici ce que j’avance : si Jésus est vraiment revenu à la vie, alors ce ne sont pas des paroles en l’air.
C’est la vérité.
La seule preuve dont nous avons besoin, c’est la résurrection de Jésus. Si sa résurrection est vraie, alors Jésus est bien tout ce qu’il prétend, car Dieu seul a le pouvoir de ressusciter les morts.
Mais si, au contraire, Jésus n’est pas ressuscité, alors soit il mentait, soit il était fou, soit les deux. Dans ce cas, nous ne devrions pas écouter un seul mot de ce qu’il raconte.
Si Jésus n’est pas ressuscité, alors des millions de chrétiens sont en train de gâcher leur vie à suivre un homme mort.
Comme le dit l’un des auteurs de la Bible : « et si le Christ n’est pas ressuscité, nous n’avons rien à proclamer et vous n’avez rien à croire » (1 Corinthiens chapitre 15, verset 14).
Voilà pourquoi la question de la résurrection est si importante. Parce qu’il n’y a que deux réponses possibles, sans solution intermédiaire : soit Jésus est ressuscité, et alors il est le roi de l’univers et tout le monde devrait le suivre ; soit Jésus n’est pas ressuscité : dans ce cas, il a raconté n’importe quoi et personne ne devrait le croire.
Mais comment savoir s’il faut croire en la résurrection ?
Certains disent que ce n’est qu’une question de choix entre la foi et les preuves.
Ils affirment que celles et ceux qui croient à la force gravitationnelle, au réchauffement climatique ou au Big Bang s’appuient sur des preuves issues de l’observation (les faits, le concret, les résultats de la recherche scientifique).
Ils affirment de même que celles et ceux qui croient en Dieu, en la Bible, ou les miracles, s’appuient sur la foi, choisissant d’ignorer les faits et ce que l’on peut observer pour croire en autre chose.
D’après ce raisonnement, preuves et foi seraient en opposition les unes avec l’autre. Plus nous avons de preuves, moins nous avons besoin de foi ; et plus notre foi est grande, moins nous nous soucions des preuves.
C’est une vision des choses très répandue. Et la plupart des gens pensent que c’est de ce genre de foi que la Bible parle quand elle nous invite à croire à la résurrection de Jésus.
Pourtant, ce n’est pas du tout comme ça que la Bible décrit la foi !
Dans la Bible, avoir la foi signifie être convaincu par des preuves. Donc quand la Bible nous dit de placer notre foi en Jésus, elle ne nous demande pas de croire en lui sans aucune preuve, elle nous invite à croire à cause des preuves que nous avons reçues.
Je vais te donner un exemple :
J’ai foi en mes parents. Je crois qu’ils m’aiment et désirent le meilleur pour moi. Cette foi ne sort pas de nulle part. Elle se base sur les nombreuses preuves accumulées année après année.
Il s’agit de toutes les fois où mes parents m’ont donné à manger, m’ont habillé et ont pris soin de moi, m’ont dit qu’ils m’aimaient et m’ont témoigné de cet amour par leurs actes.
J’ai foi en l’amour de mes parents à cause de toutes ces preuves de leur amour.
Mais il se pourrait que je me trompe.
Mes parents ne m’aiment peut-être pas du tout.
Peut-être font-ils semblant de m’aimer depuis toutes ces années. Ce ne sont peut-être même pas mes vrais parents. Si ça se trouve, ce sont des extraterrestres venus d’une lointaine
galaxie et habilement déguisés en êtres humains.
C’est possible. Mais il serait absurde de croire ceci parce que je dispose d’une tonne de preuves en faveur de ma théorie n°1 (« mes parents m’aiment »), tandis que je n’en ai absolument aucune qui soutiendrait ma théorie n°2 (« mes parents sont des extraterrestres »).
La conclusion la plus logique à laquelle me mènent mes preuves, c’est que les deux personnes qui habitent l’appartement de mes parents sont bien mes vrais parents, deux êtres humains qui m’aiment. C’est donc en cette vérité-là que j’ai foi.
Et si je découvrais tout à coup plusieurs nouvelles preuves? Si je trouvais un pistolet à rayons sous le canapé de mes parents, un vaisseau spatial dans leur garage et une pile de déguisements d’être humain dans leur corbeille à linge sale, alors il me faudrait peut-être revoir ce que je crois.
Mais comme je n’ai pour l’instant rien découvert de ce genre, je vais continuer de croire que mes parents sont bien des êtres humains et qu’ils m’aiment tendrement.
C’est exactement comme ça que nous devons réfléchir à la résurrection de Jésus : nous devons suivre les preuves pour découvrir où elles nous mènent.
La bonne nouvelle, c’est que la Bible fait beaucoup de déclarations historiques au sujet de Jésus. Il est donc possible de vérifier ces affirmations en utilisant les outils des historiens.
Et c’est ce que nous allons faire dans ce livre.
Nous nous poserons d’abord cette question : « Pouvons nous croire ce que la Bible dit à propos de Jésus ? »
Il existe plusieurs tests que les historiens utilisent pour vérifier la fiabilité des documents anciens. À l’aide de ces tests, nous mettrons la Bible à l’épreuve pour voir si elle est digne de confiance.
En tant que disciple de Jésus, je crois que la Bible est bien plus qu’un simple recueil de textes anciens. Je suis convaincu qu’elle est la Parole de Dieu, qu’elle est entièrement vraie et digne de confiance.
Mais dans les chapitres qui suivent, je laisserai mes convictions de côté. Nous n’allons pas parler de ce que les chrétiens croient à propos de Jésus. Nous découvrirons ce que la plupart des historiens, qu’ils soient chrétiens ou non, affirment sur Jésus.
Ensuite, nous passerons à notre deuxième question :
« Pouvons-nous croire que Jésus est revenu d’entre les morts ? »
Comme je te l’ai dit, je suis persuadé qu’il s’agit de la deuxième question la plus importante à se poser. Toute la foi chrétienne repose sur la réponse donnée à cette question !
Et une fois que tu auras décidé de la façon dont tu veux y répondre, tu pourras envisager la question la plus importante :
« Si Jésus est vraiment revenu à la vie, qu’est-ce que ça change pour moi ? »
La résurrection, si elle est vraie, n’est pas qu’un événement extraordinaire arrivé il y a très longtemps. Si elle a réellement eu lieu, alors elle a le pouvoir de transformer ta vie… aujourd’hui.
Si Jésus est vraiment ressuscité, ça change tout !
Imaginons que je revienne au travail après une absence pour formation. Tandis que je traverse la cour de récréation, un enfant de cinq ans se précipite vers moi en courant :
« Monsieur Morphew, est-ce que vous avez entendu parler du tigre qui se promenait dans l’école hier ? »
Dois-je le croire ?
Sans doute pas. Il est très peu probable qu’un tigre en fuite soit entré dans notre école. Cet enfant a peut-être tout inventé, ou alors il ne fait que répéter la rumeur lancée par quelqu’un d’autre.
Mais admettons que les camarades de cet enfant confirment son histoire :
« Il dit la vérité, monsieur Morphew ! On l’a vu, nous aussi ! »
Et maintenant ? Dois-je y croire ?
Encore une fois, sans doute pas. Qui sait s’ils ne se sont pas mis d’accord pour me jouer un tour ?
Mais si, en continuant mon chemin, j’entends un papa dire à sa fille :
« Tout ira bien. Le tigre a été capturé hier soir. Ils l’ont ramené au zoo. »
Ça change la donne, n’est-ce pas ? J’ai maintenant deux sources d’informations différentes. Et ces deux sources sont indépendantes : je suis à peu près sûr qu’aucune des deux ne tient son information de l’autre.
Imaginons maintenant qu’en arrivant dans mon bureau, j’ouvre ma boite mail et trouve un message du directeur de l’école qui dit : « À tout le personnel : merci de vous rendre à 8 h en salle des profs pour une réunion au sujet de l’incident du tigre. »
Cette histoire de tigre échappé d’un zoo parait tout à coup beaucoup plus vraisemblable, n’est-ce pas ? En effet, je dispose maintenant d’une troisième source indépendante. Et plus il existe de sources indépendantes au sujet d’un événement (même un événement très inhabituel), plus j’ai de raisons de croire que cet événement s’est produit.
C’est cette méthode même que les historiens utilisent pour enquêter sur les personnages et les événements de l’histoire ancienne. Le nombre de sources indépendantes dont nous disposons sur un sujet nous donnera une bonne idée de la vraisemblance d’une affirmation historique.
Je propose donc d’appliquer cette approche à la personne de Jésus. Tu penses peut-être que la Bible est le seul texte qui parle de lui. Eh bien figure-toi que ce n’est pas le cas.
Commençons par jeter un coup d’œil à ce que les sources historiques autres que la Bible nous apprennent de Jésus.
D’abord, j’aimerais te parler d’un historien romain du nom de Tacite. Tacite est né moins de trente ans après la mort de Jésus, à une époque où beaucoup de ceux qui l’avaient connu étaient encore en vie. Tacite a écrit Les Annales, une histoire de l’Empire romain. Il ne mentionne Jésus que très courtement, mais cela suffit pour nous apprendre un certain nombre de choses :
• Jésus a vécu sous le règne de l’empereur Tibère.
• Il a été condamné à mort par Ponce Pilate, le gouverneur romain de la région de Judée.
• Plusieurs décennies après sa mort, Jésus avait encore des disciples.
Ce n’est pas grand-chose, c’est vrai, mais c’est un bon début.
Ensuite, nous pouvons regarder du côté d’un historien juif, Flavius Josèphe, né moins de dix ans après la mort de Jésus. Flavius Josèphe a écrit une histoire du peuple juif, les Antiquités judaïques, qui nous donne quelques informations supplémentaires :
• Jésus était un enseignant très sage.
• Il était renommé pour ses « prodiges » (autrement dit, ses miracles).
• Il avait un frère appelé Jacques, qui a été lui aussi mis à mort.
• On l’appelait « le Christ » (un titre qui signifie « l’élu » ou « le Roi »).
Comme Tacite, Flavius Josèphe précise que c’est Ponce Pilate qui a fait exécuter Jésus. Mais il nous fournit un détail supplémentaire, car il précise que Jésus est mort par crucifixion (il a été cloué sur une croix). Et comme Tacite, Josèphe nous dit qu’étonnamment, les disciples de Jésus lui sont restés fidèles même après sa mort.
Notre troisième source indépendante est la lettre d’un gouverneur romain du nom de Pline le Jeune qui a vécu à peu près à la même époque que Tacite et Flavius Josèphe. Dans cette lettre qu’il écrit à l’empereur Trajan, nous apprenons que les premiers chrétiens chantaient des chants adressés à Jésus comme s’il était un dieu.
Il existe encore d’autres documents qui font mention de Jésus, mais ce que je voulais te montrer, c’est que nous n’avons pas besoin de la Bible pour savoir que Jésus a bel et bien existé.
Voici un résumé de toutes les informations que nous pouvons rassembler sans même ouvrir une Bible :
Jésus est un homme qui a vraiment existé. Il avait un frère appelé Jacques et il vivait en Israël à l’époque où Tibère était empereur de Rome et Ponce Pilate gouverneur de Judée. Jésus avait la réputation d’être un enseignant très sage et un faiseur de miracles.
Certains l’appelaient « le Christ » et prétendaient qu’il était roi.
Jésus a été arrêté à Jérusalem au moment où les Juifs célébraient la fête de la Pâque. Il a été cloué sur une croix sur les ordres de Pilate. Mais après sa mort, le bruit a couru que Jésus était revenu à la vie et qu’il était allé à la rencontre de ses disciples.
C’est pourquoi beaucoup de gens ont continué de le suivre et sont même allés jusqu’à l’adorer. Au lieu de diminuer (comme on aurait pu s’y attendre), le nombre de ses disciples n’a pas cessé d’augmenter.
Bien sûr, si nous ouvrons notre Bible, nous trouvons encore plus d’informations. Mais avant de commencer, je voudrais
clarifier une chose.
Peut-être es-tu en train de te dire : « Euh, attends un peu ! La Bible est un livre religieux, pas un livre d’histoire. On ne peut pas croire tout ce que racontent les auteurs de la Bible sur Jésus : leurs descriptions sont complètement subjectives ! Tout ce qu’ils veulent, c’est nous persuader de croire en lui ! »
Et c’est vrai : le point de vue de la Bible est subjectif.
Mais n’importe quel historien sérieux te dira que c’est le cas de tous les textes historiques.
Tacite, par exemple, avait pris parti contre Jésus. Il traite d’ailleurs la foi chrétienne de dangereuse superstition ! Mais cela ne veut pas dire que les historiens mettent de côté tout ce que Tacite a écrit sur Jésus.
Les auteurs de la Bible, eux, avaient pris parti pour Jésus, mais ce n’est pas pour autant que les historiens ignorent ce qu’ils ont écrit.
Les historiens sérieux savent que tout texte est écrit par une personne possédant son propre point de vue. S’il fallait éliminer toutes les sources historiques plus ou moins subjectives, il ne nous resterait plus grand-chose.
Les historiens essaient donc de comprendre le point de vue de leur source et de le garder à l’esprit pendant qu’ils analysent le texte. Cela veut dire que, pour eux, la Bible n’est ni plus fiable, ni moins fiable qu’une autre source.
Il ne faut pas oublier que la Bible n’est pas un seul livre. C’est une véritable bibliothèque qui rassemble de nombreux livres écrits par différents auteurs. Quand nous lisons la Bible, nous ne nous sommes pas face à une seule source d’information sur
Jésus. La Bible nous ouvre l’accès à une ribambelle de textes écrits par un tas d’auteurs différents.
Savoir combien de ces sources sont indépendantes demanderait quelques recherches un peu plus techniques, et nous n’avons pas vraiment le temps d’aborder le sujet dans ce livre. Pour faire court, je dirai simplement que les historiens sont d’accord pour dire que le Nouveau Testament est constitué d’au moins cinq sources indépendantes, voire un peu plus.
En plus de la dizaine de sources que nous trouvons en dehors de la Bible, cela nous fait un total d’au moins quinze sources d’information indépendantes sur Jésus.
Tu te dis peut-être que quinze, ce n’est pas beaucoup.
Mais il faut savoir que de nombreux personnages importants de la même époque ne sont attestés que par une ou deux sources. Quinze sources indépendantes, pour l’Antiquité, c’est énorme !
Si quinze personnes différentes me parlaient d’un tigre en liberté dans mon école, et si je savais qu’aucune de ces personnes n’avait interagi avec les autres avant de venir me parler, j’aurais toutes les raisons de prendre cette histoire de tigre au sérieux.
Étant donné que quinze sources indépendantes nous parlent de lui, je crois que nous avons toutes les raisons de prendre l’histoire de Jésus au sérieux !
Table des matières
1. Deux grandes questions 7
2. Que savons-nous vraiment sur Jésus ? 15
3. Quand nos sources ont-elles été écrites ? 23
4. Comment être sûrs que les disciples n’ont pas tout inventé ? 29
5. Les biographies de Jésus collent-elles avec le contexte historique ? 35
6. Enquête sur le tombeau vide 41
7. Enquête sur les témoins de Jésus : ses amis 47
8. Enquête sur les témoins de Jésus : ses frères et ses ennemis 53
9. Enquête sur les cinq-cents témoins 59
10. Enquête sur la croissance extraordinaire de l’Église 65
11. Qu’est-ce que ça change pour moi ? 71
Références 79
Remerciements 81
Comment savoir que la foi chrétienne est vraie ?
Chris Morphew
Editions LLB
88 p. – 14 x 21 cm – 14€